Acte de contrition et prière d'absolution — Paroisse de l'Immaculée Conception

Aller au contenu. | Aller à la navigation

Outils personnels

Paroisse de l'Immaculée Conception
Menu

Acte de contrition et prière d'absolution

Acte de contrition

Mon Dieu,

j’ai un très grand regret de vous avoir offensé

parce que vous êtes infiniment bon, infiniment aimable,

et que le péché vous déplaît.

Je prends la ferme résolution,

avec le secours de votre sainte grâce,

de ne plus vous offenser et de faire pénitence.

 

Absolution

Acte par lequel le prêtre « délie » (absolvere signifie « délier », « dénouer ») un pénitent de ses péchés, au nom de Dieu. C’est l’application du pouvoir conféré par le Christ à saint Pierre : « Quoi que tu lies sur la terre, ce sera tenu dans les cieux pour lié, et quoi que tu délies sur la terre, ce sera tenu dans les cieux pour délié » (Mt 16, 19), et donné aux apôtres le jour de la Résurrection : « Recevez l’Esprit Saint. Ceux à qui vous remettrez les péchés, ils leur seront remis ; ceux à qui vous les retiendrez, ils leur seront retenus » (Jn 20, 22-23).

La formule d’absolution est la suivante :

« Que Dieu notre Père vous montre sa miséricorde !

Par la mort et la Résurrection de son Fils,

il a réconcilié le monde avec lui et il a envoyé l’Esprit Saint pour la rémission des péchés ;

par le ministère de l’Église,

qu’il vous donne le pardon et la paix !

Et moi, au nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit, je vous pardonne tous vos péchés. »

 

 

Pendant qu’il prononce ces paroles, le prêtre tient ses mains étendues vers le pénitent, et au moment de la dernière phrase, qui est la plus importante, il trace un signe de croix sur lui.

Noter qu’à la fin de l’acte pénitentiel, au début de la messe, le prêtre prononce une formule d’absolution, qui n’est pas sacramentelle : « Que Dieu tout-puissant nous fasse miséricorde ; qu’il nous pardonne nos péchés et nous conduise à la vie éternelle ! » Quand l’absolution collective est donnée, on doit rappeler aux fidèles qu’ils sont tenus de confesser devant un prêtre, dès qu’ils le pourront, les fautes graves dont ils ont conscience.